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Stefan Zweig

Stefan Zweig

Écrivain autrichien


Mort à 60 ans
Date de naissance
Le lundi
Il est né il y a 142 ans, 4 mois et 1 jour
Date de mort
Le dimanche

Il est mort depuis 82 ans, 1 mois et 7 jours

Cause de la mort : suicide

Lieu de naissance
Vienne, Autriche Autriche
Nationalité : autrichienne Autriche
Catégorie
Écrivains
Signe astro : Sagittaire

Stefan Zweig (/ˈʃtɛ.fan t͡svaɪ̯k/), né le à Vienne en Autriche-Hongrie et mort le à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien.

Ami de Sigmund Freud, Arthur Schnitzler, Romain Rolland, Richard Strauss, Émile Verhaeren, Stefan Zweig a fait partie de l'intelligentsia viennoise. Il quitte son pays natal en 1934, en raison de la montée du nazisme et de ses origines juives pour se réfugier à Londres, puis au Brésil où il se suicidera. Son œuvre est constituée essentiellement de biographies (Joseph Fouché, Marie-Antoinette, Marie Stuart), mais aussi de romans et de nouvelles (Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments, Le Joueur d'échecs). Dans son livre testament, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de cet « âge d'or » de l'Europe et analyse ce qu'il considère comme l'échec d'une civilisation.

Source : Wikipedia 
Il est des heures vides, creuses, qui portent en elles le destin.
L'histoire ne tolère aucun intrus, elle choisit elle-même ses héros et rejette sans pitié les êtres qu'elle n'a pas élus, si grande soit la peine qu'ils se sont donnée.
Toute découverte, toute invention ne tient pas tant sa valeur de celui qui la réalise que de celui qui en comprend toute la signification, toute la force opérante.
L'unique droit qui reste à un homme n'est-il pas de crever comme il veut...
On peut tout fuir, sauf sa conscience.
Tel est bien le caractère étrange de la nature humaine que de s'adapter partout très vite et de se sentir chez soi même dans l'éphémère, comme si là était son bon droit.
Dans toute action qu'on entreprend, il y a quelque chose qui finit, à la longue, par vous déformer.
L'âge amortit de façon étrange tous les sentiments.
Car jamais un acte n'est décisif par lui-même ; ce qui compte, c'est la connaissance de cet acte, et ses conséquences.