Menu
Anniversaire CélébritéAnniversaire Célébrité
anniversaire-celebrite.com
Georges Clemenceau

Georges Clemenceau

Homme politique français


Mort à 88 ans
Date de naissance
Le mardi
Il est né il y a 183 ans, 1 mois et 24 jours
Date de mort
Le dimanche

Il est mort depuis 94 ans, 11 mois et 28 jours

Cause de la mort : cause naturelle

Lieu de naissance
Mouilleron-Saint-Germain, France France
Nationalité : française France
Signe astro : Balance

Georges Clemenceau (/kle.mɑ̃.so/), né le à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) et mort le à Paris (Seine), est un homme d'État français, président du Conseil de 1906 à 1909 puis de 1917 à 1920.

Fils de médecin et médecin lui-même, il est maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République. Il est député entre 1871 et 1893, siégeant en tant que républicain radical. Il défend l'amnistie pour les communards et milite en faveur de la restitution de l'Alsace-Moselle.

Anticlérical mais aussi notamment athéiste, il prône la séparation des Églises et de l'État et s'oppose à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice, il travaille ensuite à L'Aurore et prend une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. En 1899, il publie le livre L'Iniquité sur l'affaire Dreyfus. En 1902, il est élu sénateur dans le Var, mandat qu'il occupe jusqu'en 1920, bien qu'il eût précédemment critiqué l'institution du Sénat, tout comme la présidence de la République.

Nommé ministre de l'Intérieur en , surnommé « le Tigre » et se désignant lui-même comme « le premier flic de France », il réprime durement les grèves — ce qui l'éloigne des socialistes — et met un terme à la querelle des Inventaires. À la fin de l'année 1906, il devient président du Conseil, fonction qu'il occupe pendant près de trois ans et qu'il cumule avec celle de ministre de l'Intérieur.

En 1913, il fonde le journal L'Homme libre, qu'il rebaptise L'Homme enchaîné après avoir essuyé la censure ; fervent opposant à l'Empire allemand, il se montre en effet critique envers l'action des gouvernements français en place lors de la Première Guerre mondiale.

En , il est de nouveau nommé président du Conseil et forme un gouvernement consacré à la poursuite de la guerre. Partisan farouche d'une victoire totale sur l'Empire allemand, il poursuit la guerre et se voit attribuer le surnom de « Père la Victoire » à l'issue du conflit. Il négocie ensuite à la conférence de la paix de Paris, où il affiche une forte hostilité envers l'Allemagne. Par la suite, en 1919, il fait promulguer la loi des huit heures et remporte les élections législatives à la tête du Bloc national, une coalition rassemblant la droite et le centre.

Bien que très populaire dans l'opinion publique, il refuse de se présenter à l'élection présidentielle de janvier 1920 après avoir été mis en minorité lors du vote préparatoire du groupe républicain à l'Assemblée nationale. Il quitte alors la tête du gouvernement et se retire de la vie politique.

Source : Wikipedia 
Pour prendre une décision, il faut être un nombre impair de personnes, et trois c'est déjà trop.
La vie m'a appris qu'il y a deux choses dont on peut très bien se passer : la présidence de la République et la prostate.
Le meilleur moment de l'amour, c'est quand on monte l'escalier.
Les fonctionnaires sont un peu comme les livres d'une bibliothèque: ce sont les plus haut placés qui servent le moins.
La justice militaire est à la justice ce que la musique militaire est à la musique.
Un escalier de ministère est un endroit où des gens qui arrivent en retard, croisent des gens qui partent en avance.
Ce qui m'intéresse, c'est la vie des hommes qui ont échoué car c'est le signe qu'ils ont essayé de se surpasser.
La politique me fait l'effet d'un immense cabestan auquel sont attelés un grand nombre d'hommes pour soutenir une mouche.
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.