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Jean Giono

Jean Giono

Écrivain français


Mort à 75 ans
Date de naissance
Le samedi
Il est né il y a 129 ans, 7 mois et 22 jours
Date de mort
Le vendredi

Il est mort depuis 54 ans, 1 mois et 12 jours

Cause de la mort : crise cardiaque

Lieu de naissance
Manosque, France France
Nationalité : française France
Catégorie
Écrivains
Signe astro : Bélier

Jean Giono est un écrivain et cinéaste français, né le à Manosque où il est mort le .

Ses œuvres, souvent ancrées dans le monde paysan provençal, abordent des questions universelles sur la condition humaine. Bien qu'ami de nombreux écrivains et artistes célèbres, il demeure en dehors des courants littéraires dominants de son époque.

Il a vécu principalement à Manosque, et sa culture — notamment littéraire — est essentiellement autodidacte, se fondant sur des œuvres classiques. Il n'a jamais reçu de grand prix littéraire français, mais a été honoré par des prix américains et britanniques. Membre de l'académie Goncourt de 1954 à sa mort, il est parfois perçu à tort comme un simple écrivain régionaliste, alors que son œuvre est vaste et diversifiée. Ses écrits, bien que profondément enracinés dans la Provence, transcendent les frontières régionales et abordent des thèmes universels.

Giono a également réfléchi à l'art de l'écriture, notamment dans son livre Noé, où il explore la relation entre un romancier et son imaginaire.

Source : Wikipedia 
Dans la vie, il n'y en a qu'un qu'il ne faut pas gêner : c'est soi-même.
La joie panique, il est impossible de la garder pour soi-même ; celui qui l'a, s'il ne la partage ne fait que la toucher et la perdre.
Tout le monde ment, mais personne ne dit : “je mens” ; tout le monde se réclame de la vérité, alors que dire "je mens" est la seule chose vraie que l'on puisse dire.
Les sentiers battus n'offrent guère de richesse ; les autres en sont pleins.
Il y a dans la sensualité une sorte d'allégresse cosmique.
Le bien-être ne sert qu'à désirer plus ; et dans cette idée il n'y a pas de limite.
Ce qui importe c'est d'être un joyeux pessimiste.
La femme, ça a toujours un coin, où en appuyant, ça pleure.
Tout le monde ment, mais personne ne dit : "je mens" ; tout le monde se réclame de la vérité, alors que dire "je mens" est la seule chose vraie que l'on puisse dire.