Menu
Anniversaire CélébritéAnniversaire Célébrité
anniversaire-celebrite.com
Marc Chagall
Mort il y a 40 ans le 28/03/2025

Marc Chagall

Peintre français


Mort à 97 ans
Date de naissance
Le jeudi
Il est né il y a 137 ans, 0 mois et 20 jours
Date de mort
Le jeudi

Il est mort depuis 39 ans, 3 mois et 29 jours
Lieu de naissance
Liozna, Biélorussie Biélorussie
Nationalité : française France
Signe astro : Cancer

Marc Chagall (en russe : Марк Захарович Шагал, Mark Zakharovitch Chagal ; en biélorusse : Марк Захаравiч Шагал, Mark Zakharavitch Chagal), né Moïche Zakharovitch Chagalov (en russe : Мойшe Захарович Шагалов), est un peintre et graveur né le à Liozna dans la voblast de Vitebsk en Biélorussie (alors Empire russe), naturalisé français en 1937 et mort le à Saint-Paul-de-Vence où il est enterré.

Chagall est l'un des plus célèbres artistes installés en France au XXe siècle, avec Pablo Picasso. Son œuvre, sans se rattacher à aucune école, présente des caractéristiques du surréalisme et du néo-primitivisme. Inspirée par la tradition juive, la vie du shtetl (village juif en Europe de l'Est) et le folklore russe, elle élabore sa propre symbolique, autour de la vie intime de l'artiste. Chagall s'est essayé, outre la peinture sur toile, à la gravure, à la sculpture, à la céramique, à la poésie, à la peinture sur vitrail, sur émail, etc..

Chagall est né le à Liozna dans la voblast de Vitebsk, en Biélorussie (laquelle appartenait alors à l'Empire russe), dans une famille juive hassidique. La ville compte une importante communauté juive. Sa mère tenait une épicerie et son père était ouvrier saumurier à l'entrepôt de harengs Janchnine, tandis que son grand-père était précepteur et chantre à la synagogue. Il a été élevé dans la paix et la tendresse de sa mère qui lui a appris à lire et à aimer la Bible et les hommes.

Vitebsk restera dans l'imaginaire de Chagall le paradis naïf de l'enfance, et le peintre le représentera dans de nombreuses toiles, dans sa jeunesse mais aussi plus tard. En 1906, Chagall entame sa première formation artistique au sein de la seule école d'art qu'abrite Vitebsk, ouverte par un peintre académique Iouri Pen. Chagal dira que Pen « vit dans ma mémoire comme mon père ». À l'instigation de sa mère, il devient également apprenti en retouche de négatifs chez Abel Miestchaninov, frère du sculpteur Oscar Miestchaninov.

Avec son ami Viktor Mekler, Chagall part pour Saint-Pétersbourg durant l'hiver 1906-1907. Après un premier refus à l'École des arts et métiers du baron Stieglitz, Chagall s'inscrit à l'école de dessin fondée par la Société impériale pour la protection des beaux-arts, dirigée par le peintre et philosophe Nicolas Roerich. En septembre 1909, Chagall entre dans la prestigieuse école d'art Zvantseva où enseigne le peintre Léon Bakst, artiste célébré à Paris pour ses décors et ses costumes des Ballets russes de Serge de Diaghilev.

Il part pour Paris en 1911. Il y est témoin de mouvements picturaux, tels que le fauvisme finissant et le cubisme naissant. Le premier lui inspire la couleur pure, gaie et claire, le second une certaine déconstruction de l'objet. Il découvre notamment les toiles de Robert Delaunay, Jean Metzinger, Henri Rousseau, Albert Gleizes. Néanmoins, jamais Chagall n'adhèrera pleinement à un mouvement ou à une école. Dans le même temps, il passe de nombreuses journées au musée du Louvre, où il étudie Eugène Delacroix, Théodore Géricault, Antoine Watteau, Gustave Courbet.

Il se lie d'amitié avec le poète Blaise Cendrars, qui est l'un des seuls habitants de la bohème parisienne à parler le russe. Cendrars lui présente, entre autres, Robert Delaunay et Guillaume Apollinaire, qui seront fascinés par sa liberté dans l'utilisation de la couleur.

Selon la femme de lettres Nina Berberova, Marc Chagall adhère en 1912 à la franc-maçonnerie. Influencé par Apollinaire, il semble épouser les philosophies ésotériques (l'alchimie et la kabbale) dans son célèbre tableau Hommage à Apollinaire (1913) où il aborde pour la première fois la figure de l'androgyne.

Tout en adoptant Paris comme sa deuxième ville natale, il n'oublie pas ses origines russes. Pour preuve : même lorsqu'il peint les ponts de la Seine ou la tour Eiffel, on peut reconnaître des éléments de décor inspirés de ses souvenirs d'enfance qui ne le quitteront jamais. Il expose ses travaux pour la première fois en 1914 au Salon des indépendants. Dans le même temps, il se rend à Berlin, où il expose dans la galerie Der Sturm avec Paul Klee et Alfred Kubin. Il a ensuite une exposition personnelle dans cette galerie. C'est un succès.

En 1914, il est de retour à Vitebsk pour une courte durée, pense-t-il, mais la Première Guerre mondiale empêche tout retour à Paris. En 1915, il épouse Bella Rosenfeld ; leur fille Ida naît le . Pendant cette période, Chagall peint surtout la vie de la communauté juive, qui est persécutée car soupçonnée d'espionnage par l'état-major russe. La famille de Chagall offre l'hospitalité à de nombreux juifs expulsés, notamment venus de la frontière lituanienne. Dans ces circonstances, sans être pieux, le peintre renoue avec sa culture hassidique. Ses œuvres témoignent de son respect pour le peuple juif.

Il expose à de nombreuses reprises entre 1916 et 1917, notamment, au Bureau artistique de Nadejda Dobytchina et au Vallet de Carreau. Après la révolution russe, il devient « commissaire aux beaux-arts » et responsable de la vie artistique de Vitebsk. Il organise de nombreuses expositions d'artistes de Moscou et de Vitebsk avec Abram Brazer. Il crée une école d'art qui ouvre ses portes en 1919 : l'École artistique de Vitebsk. Kasimir Malevitch, qui devient rapidement le leader radical de la jeunesse artistique, vient y participer puis prend le relais de Chagall. De retour d'un voyage à Moscou, Chagall apprend que l'école a été rebaptisée « Académie suprématiste ». Il repart alors pour Moscou où il crée les décors pour le théâtre d'Art juif.

Pour la critique d'art Maria Berezanskaïa, l'idole principale de Chagall en Russie était le peintre symboliste Mikhaïl Vroubel. Dans son autobiographie, il s'appelle lui-même « disciple de Vroubel ». Une continuité de nature stylistique est difficile à tracer entre les deux artistes, mais Chagall n'en est pas moins l'héritier d'une puissante tradition mythologique créé par Vroubel. L'art de Vroubel puis celui de Chagall procèdent tous deux de la transformation totale du monde visible : les objets sont encadrés dans des supports matériels aux significations spirituelles infinies. Des détails insignifiants participent chez les deux artistes à la grande dynamique d'un monde en mutation .

Il retourne en 1922 à Berlin puis à Paris. Ses œuvres sont connues aux États-Unis où des expositions sont organisées. En 1923, Chagall fait la connaissance d'Ambroise Vollard, marchand et éditeur de livres qui, ensuite, lui commande notamment trente gouaches et cent eaux-fortes illustrant les Fables de La Fontaine (1926-1927), cent dix-huit eaux-fortes pour Les Âmes mortes, de Nicolas Gogol (1923-1925) mais aussi, et surtout, des illustrations pour la Bible (1930).

Entre 1927 et 1929, Marc Chagall s'installe au mas Lloret, à Céret.

Au début des années 1930, il voyage beaucoup avec sa famille. À partir du , il prend la nationalité française pour fuir l'antisémitisme de l'Europe centrale. C'est cette année-là qu'il fait la connaissance du peintre hongrois Imre Ámos (1907-1944 ou 1945) à Paris, qui s'est ensuite inspiré de son style dans certaines de ses peintures. À la fin du printemps 1941, Chagall est arrêté et doit son salut au journaliste américain Varian Fry, qui lui permet de rejoindre les États-Unis. Il vit alors en exil à New York, comme de nombreux intellectuels français,.

Sa femme, Bella, meurt en 1944 ; cet événement marque le choix de ses sujets à cette époque.

Il rencontre en 1945 Virginia Haggard, mariée à John McNeil dont elle n'est pas divorcée. Marc et Virginia ont un fils en 1946, le futur chanteur et auteur-compositeur David McNeil, lequel porte le nom du mari de sa mère. Il a raconté ses souvenirs d'enfance avec son père dans Quelques pas dans les pas d’un ange.

Après la Seconde Guerre mondiale, les œuvres de Chagall sont à nouveau exposées en Europe. Il retraverse l'océan Atlantique en 1948, pour s'installer à Vence, sur la Côte d'Azur où il aide Frans Krajcberg à partir pour le Brésil.

Il rompt avec Virginia et se remarie en 1952 avec Valentina Brodsky (1905-1993) dite Vava.

La Fondation Maeght vend ses œuvres à travers le monde entier. Ses techniques se diversifient : céramiques, sculptures, mosaïques, vitraux, lithographies. Il continue de peindre des décors, conçoit des costumes pour l'opéra, notamment La Flûte enchantée.

En 1970, il représente une grive et une mère offrant du raisin à un enfant pour l'étiquette du célèbre vin bordelais Château Mouton Rothschild.

Il peint ses premiers vitraux en 1959 pour la cathédrale Saint-Étienne de Metz.

Ensuite il a dessiné notamment les vitraux de l'église Saint-Étienne de Mayence. Cet ordre est né grâce à la médiation du prêtre local Klaus Mayer. Les vitraux de l'église de Mayence, où il y avait déjà eu de violentes persécutions des Juifs au Moyen Âge, sont censés être un signe permanent de solidarité judéo-chrétienne et de compréhension internationale. Chagall a été en mesure d'achever un total de neuf fenêtres d'église au moment de sa mort.

Chagall finit sa vie à Saint-Paul-de-Vence, célèbre et reconnu dans le monde entier.

À la fin des années 1980, peu après sa mort, éclate l'affaire Chagall, où des dizaines de ses œuvres sont dérobées et écoulées sur le marché de l'art : elle s'achève par l'arrestation et la condamnation de trois marchands d'art.

En 1930, le marchand d'art et ami de Chagall, Ambroise Vollard, lui commande une série d'illustrations sur la Bible. Celui qui décrit le texte sacré comme « la plus grande source de poésie de tous les temps », exécute alors une quarantaine de gouaches, avant d'entamer une série d'eaux-fortes qui sont insérées au sein de la Bible de Genève : 105 gravures figurent diverses scènes-clés de l'Ancien Testament. À la main, Chagall les rehausse toutes d'un peu de gouache. Ses sujets de prédilection sont les prophètes, les patriarches, les guerriers et les rois. Surtout, il fait des liens entre le passé et le présent, entre la persécution de Jésus et celle que les Juifs subissent en Europe dans les années 1940.

Ce travail monumental est à l'origine du Message biblique qui propose un cycle décoratif relatant l'histoire biblique, terminé en 1966. Chagall en fait don à l'État français qui, au grand bonheur de Chagall, l'expose au Louvre avant d’inaugurer en 1973 le musée national du Message biblique à Nice, en présence d'André Malraux.

Blaise Cendrars, Dix-neuf poèmes élastiques, extrait de « Portrait ou Marc Chagall », 1919.

  • Cantique des Cantiques II, 1957 (huile).
  • Cantique des Cantiques III, 1960 (huile).
  • Cantique des cantiques IV, 1958, Provincial Museum of Alberta.
  • Cantique des Cantiques V, 1965-1966.
  • Deux têtes à la main ou deux têtes une main, circa 1952-1953, marbre de Carrare, 45 x 24,5 x 21cm, collection particulière.
  • Allemagne
    • Mayence : neuf vitraux dans l'église Saint-Étienne.
  • Angleterre
    • Tudeley : douze vitraux dans l'église All Saints.
    • Chichester : un vitrail dans la cathédrale de Chichester.
  • États-Unis
    • New York : un vitrail dans l'enceinte du siège des Nations unies, Peace Window, vitrail réalisé en 1961, en hommage à Dag Hammarskjöld, ancien secrétaire général de l'ONU.
  • France
    • Metz : six vitraux dans la cathédrale Saint-Étienne.
    • Moissac : un vitrail dans l'abbaye Saint-Pierre.
    • Reims : trois vitraux dans la cathédrale, l'arbre de Jessé, les deux Testaments et les grandes heures de Reims.
    • Sarrebourg : La Paix, un vitrail monumental (12 m de haut sur 7,5 m de large), dans la chapelle des Cordeliers.
    • Le Saillant : six vitraux dans l'église.
    • Nice : La Création du monde, trois vitraux dans l'auditorium du musée Marc-Chagall de Nice. Ils se lisent de droite à gauche, dans le sens de la lecture hébraïque.
  • Suisse
    • Zurich : les vitraux dans l'église Fraumünster.
  • Israël
    • Jérusalem : les vitraux de la synagogue de l'hôpital Hadassah : Les Douze Tribus d’Israël.
  • Suisse
    • Fondation Pierre-Gianadda, parc de sculptures, Martigny : La Cour Chagall, mosaïque monumentale réalisée en 1964 par Lino et Heidi Melano, accompagnée de deux petites fontaines, Poisson et Oiseau, également de Chagall, en marbre blanc (don de Georges Kostelitz en mémoire de son épouse Ira, 2003).
  • France
    • Le Repas des Anges, représentation d'un des miracles attribué à Roseline de Villeneuve dans la chapelle Sainte-Roseline, située sur la commune des Arcs-sur-Argens.
    • Moïse sauvé des eaux, non daté (entre 1950 et 1966), baptistère de la cathédrale de la Nativité-de-Marie à Vence (Alpes-Maritimes), vieille ville.
    • Le Message d'Ulysse, 1968 (1 100 × 300 cm), salle des pas perdus, faculté de droit et sciences économiques de Nice. Exécutée par Lino Melano.
    • Le Prophète Élie, 1971 (715 × 570 cm), musée national Marc Chagall de Nice. Réalisée pour le musée et exécutée par Lino Melano. Sujet adapté à la dimension biblique du musée.
  • Israël
    • Le hall Chagall à la Knesset : mosaïques au sol et une grande mosaïque murale.
  • États-Unis
    • Les quatre saisons : mosaïque sur quatre faces d'un pavé droit (21 x 4,3 x 3 m) située dans le Chase Tower Plaza dans le quartier de Loop à Chicago, dans l’Illinois. La mosaïque était un cadeau à la ville de Chicago de Frederick H. Prince (via le Prince Charitable Trusts) et a été inaugurée le . Elle a été rénovée en 1994 et un auvent en verre protecteur a été installé,,.
  • Église Notre-Dame-de-Toute-Grâce du plateau d'Assy en Haute-Savoie : Passage de la mer Rouge aux personnages en apesanteur, guidés par leur patriarche revêtu de jaune, Moïse.
  • Le Paradis terrestre, panneau céramique de quatre carreaux (52,7 × 52,7 cm), Vallauris, 1959.
  • Théâtre juif d'État de Moscou.
  • Le plafond de la salle de spectacle de l'opéra Garnier : peint en 1964.
  • Peintures murales du Watergate Theatre de Londres (1949).
  • Israël : le hall Chagall à la Knesset, Jérusalem : tapisserie triptyque illustrant les thèmes bibliques et modernes de l'histoire du peuple juif.
  • « Rétrospective Chagall », musée des Arts décoratifs de Paris, 1959.
  • « Œuvres sur papier », centre Pompidou, du au .
  • « Chagall, dans une nouvelle lumière », rétrospective au Musée Frieder-Burda, Baden-Baden. 2006
  • « Marc Chagall – Poesie und Traum » (« Marc Chagall. La poésie et le rêve »), Kunsthalle Messmer, Riegel am Kaiserstuhl (Allemagne), 2013.
  • « Marc Chagall, impressions », palais Lumière d'Évian-les-Bains, du samedi au dimanche .
  • « Rétrospective Chagall », musée royal des Beaux-Arts de Belgique, du au .
  • « Marc Chagall. Le triomphe de la musique », exposition à la Philharmonie de Paris du mardi au dimanche .
  • « Chagall. Songes d'une nuit d'été », exposition multimédia, Carrières de Lumières aux Baux-de-Provence, du au .
  • « Chagall de la poésie à la peinture », Fonds Hélène et Édouard Leclerc pour la culture à Landerneau, du au .
  • « Chagall: Couleur et musique », Musée des beaux-arts de Montréal, du au .
  • « Chagall, Lissitzky, Malevitch. L'avant-garde Russe à Vitebsk (1918-1922) », centre Pompidou, 2018.
  • « Chagall, du coq à l'âne », Le Doyenné de Brioude (Haute-Loire), du au .
  • « Chagall, du noir et blanc à la couleur », hôtel de Caumont (Aix-en-Provence), du au .

Les œuvres de Marc Chagall sont très recherchées par les collectionneurs du monde entier.

  • Anniversaire, a été vendue 14 900 000 US$ en mai 1990.
  • Le Grand Cirque, une huile sur toile (159,5 × 308,5 cm), a été vendue 13 760 000 US$, soit 10 176 896 euros à New York le .
  • Roses et mimosas, une huile sur toile (147,3 × 114,3 cm) a été vendue 1 833 250 £, soit 2 318 694 euros à Londres le .
  • Les Amoureux, une huile sur toile a été vendue 28 500 000 US$ en 2017 à New York.
  • Ma vie, autobiographie, 1923.
  • Marc Chagall, Ma vie, Stock, 1928, édition révisée en 2003, traduction bella chagall (ISBN 9 782234 0554 14).
  • Marc Chagall, Mon univers. Autobiographie ("Eygens", 1925), traduit du yiddish par Chantal Ringuet et Pierre Anctil, Fides, 2017 (ISBN 9782762140507).
  • Les Âmes mortes, de Gogol, 118 illustrations, Tériade, Éd. Verves, 1948.
  • Les Fables de La Fontaine, 100 illustrations, Tériade, Éd. Verves, 1952.
  • La Bible, 150 illustrations, Tériade, Éd. Verves, 1956 et 1960.
  • Le Cirque, Tériade Editeur, Paris, 1967
  • Le Monde De Marc Chagall, photographies d'Izis Bidermanas, Gallimard, 1959.
  • Chagall sur la terre des dieux, avec 10 lithographies, textes de Robert Marteau Paris, éd. Mazo, 1969
  • Il vécut au no 4 villa Eugène-Manuel (16e arrondissement de Paris) ; une plaque lui rend hommage.
  • Les fiancés au verre de vin est un tableau en hommage à Marc Chagall du peintre Herman Braun-Vega (1970), inspiré par le Double portrait au verre de vin.
  • Louis Aragon écrit un recueil consacré à Chagall nommé, Celui qui dit les choses sans rien dire (1976).
  • Une copie quelque peu modifiée du tableau Le Violoniste vert apparaît dans le film Monsieur Klein tourné par Joseph Losey en 1976.
  • (2981) Chagall, astéroïde.
  • Dans l'épisode Un indice de trop de la série Hercule Poirot (1991), le célèbre détective, accompagné de la comtesse Vera Rossakoff, admire le tableau Les Plumes en fleurs. Poirot explique qu'il fait partie des œuvres qu'il préfère, tandis que la comtesse constate que lorsque l'on voit son travail on sait de tout de suite qu'il est Russe avant tout.
  • À la mémoire de Chagall, œuvre pour flûte et percussions écrite par Roger Lersy, 1995.
  • Dans Ferrat 95, Jean Ferrat, chante le titre Chagall en hommage au peintre.
  • La toile La Mariée apparait dans le film Coup de foudre à Notting Hill (1999) avec Julia Roberts et Hugh Grant.
  • Chagall en Russie, bande dessinée en deux tomes de Joann Sfar librement inspirée d'éléments de l'œuvre de Chagall, 2010.
  • 2014 : Mimoza Koike, Gaétan Morlotti et Bruno Roque, danseurs du Ballets de Monte-Carlo avec le Musée Marc-Chagall de Nice créent un spectacle ayant pour argument l'enfance du peintre à Vitebsk en s'inspirant du récit autobiographique Ma vie.
  • 1963 : Chagall réalisé par Lauro Venturi (France, 25 min.), Oscar du meilleur court métrage documentaire en 1964.
  • 1974 : The Gift: Four Seasons Mosaic of Marc Chagall réalisé par Chuck Olin (États-Unis, 30 min.).
  • 2019 : Chagall entre deux mondes réalisé par Laurence Jourdan (France, 52 min.).
  • 2022 : Marc Chagall - Foi, amour et guerre réalisé par Anna Maria Tappeiner (Allemagne, 52 min.).
  • Denise Bourdet, Marc Chagall, dans: Brèves rencontres, Paris, Grasset, 1963.
  • Franz Meyer, Marc Chagall, Flammarion, 1961, édition révisée en 1995.
  • Marie-Thérèse Souverbie, Chagall, éditions Hazan, .
  • Alexandre Kamenski, Chagall. Période russe et soviétique, 1907-1922, Éditions du Regard, .
  • Daniel Marchesseau, Chagall. Ivre d'images, Paris, Gallimard, (ISBN 978-2-07-053298-8). 
  • Daniel Marchesseau (dir.), Marc Chagall. Les années russes, 1907-1922, Paris, Paris-Musées,
  • Nadine Nieszawer, Peintres juifs à Paris. École de Paris (1905-1939), Denoël, , 365 p. (ISBN 978-2-207-25142-3).
  • Didier Ottinger, Le Monde renversé de Chagall. Sens dessus-dessous, Actes Sud, (ISBN 978-2-7427-9093-7).
  • Claire Le Foll, L'École artistique de Vitebsk (1897-1923), L'Harmattan, , 280 p. (ISBN 978-2-7475-2067-6, lire en ligne).
  • David McNeil, Quelques pas dans les pas d’un ange, Gallimard, coll. « Blanche », 2003, Folio no 4183).
  • (de) Marc Chagall et Karl With, Marc Chagall, vol. 35, Leipzig, Klinkhardt & Biermann, coll. « Junge Kunst », (OCLC 1186233)
  • (en) Bill Wyman, Wyman shoots Chagall, Guildford, Genesis Publications, , 160 p. (ISBN 978-0-904351-62-0).
  • (de) Nikolaj Aaron, Marc Chagall, Reinbek bei Hamburg, Reinbek Rowohlt-Taschenbuch-Verl., , 155 p. (ISBN 978-3-499-50656-7).
  • (ru) V. A. Shishanov, Vitebskiĭ muzeĭ sovremennogo iskusstva : istorii︠a︡ sozdanii︠a︡ i kollekt︠s︡ii, 1918-1941, Minsk, Medisont,‎ 2007 http://issuu.com/linkedin63/docs/shishanov_vitebsk_museum_modern_art/1 (ISBN 978-985-6530-68-8).
  • (en) Elizabeth Underhill, « Marc Chagall Prints 1922-1927 », Print Quarterly, vol. 1, no 4, 1984
  • Jackie Wullschläger (trad. de l'anglais par Patrick Hersant), Chagall, Paris, NRF Gallimard, , 573 p. (ISBN 978-2-07-012663-7)
  • (ru) Maria Berezanskaïa (Мариц Юерезанская), Marc Chagall du mythe à l'épopée (Марк Шагал От мифа к эпосу), Moscou, БуксМААрт,‎ , 320 p. (ISBN 978-5-906190-67-3)
  • Christian Schmitt, Chagall, Cathédrale Saint-Etienne de Metz, (préf. Robert Féry, chanoine d'honneur de la cathédrale de Metz), Éditions des Paraiges, 2021 (ISBN 978-2-37535-134-5)
  • École artistique de Vitebsk
  • Marc Chagall : Œuvres sur papier
  • Musée international de la céramique de Faenza
  • Musée Marc-Chagall (Nice)
  • Musée Marc-Chagall (Vitebsk)

  • (fr + en) Site officiel
  • Ressources relatives aux beaux-arts :
    • AGORHA
    • Art Institute of Chicago
    • Art UK
    • Auckland Art Gallery
    • Bénézit
    • Bridgeman Art Library
    • British Museum
    • Collection de peintures de l'État de Bavière
    • Cooper–Hewitt, Smithsonian Design Museum
    • Delarge
    • Fondation Maeght
    • Galerie nationale de Finlande
    • Grove Art Online
    • Kunstindeks Danmark
    • MNBAQ
    • Musée d'art Nelson-Atkins
    • Musée des beaux-arts du Canada
    • Musée national du Victoria
    • Musée Städel
    • Musée Thyssen-Bornemisza
    • Museo Nacional de Artes Visuales
    • Museum of Modern Art
    • MutualArt
    • National Gallery of Art
    • National Portrait Gallery
    • RKDartists
    • Royal Academy of Arts
    • Tate
    • Te Papa Tongarewa
    • Union List of Artist Names
  • Ressources relatives à la recherche :
    • Académie royale de Belgique
    • Persée
  • Ressources relatives à la musique :
    • Discogs
    • MusicBrainz
  • Ressource relative à la vie publique :
    • Documents diplomatiques suisses 1848-1975
  • Ressource relative à la littérature :
    • Internet Speculative Fiction Database
  • Ressource relative au spectacle :
    • Archives suisses des arts de la scène
  • Ressource relative à plusieurs domaines :
    • Radio France
  • Ressource relative à l'audiovisuel :
    • IMDb
  • « Musée national Marc-Chagall à Nice »
  • (en) « Marc Chagall », sur Artcyclopedia
  • « Musée Marc-Chagall à Vitebsk »
  • « Les 80 ans de Chagall », sur Ina.fr (consulté le )
  • Marc Chagall sur le site de Nadine Nieszawer
  • Portail du dadaïsme et du surréalisme
  • Portail de la culture russe
  • Portail de la Biélorussie
  • Portail de la peinture
  • Portail de la gravure et de l'estampe
  • Portail de la culture juive et du judaïsme
  • Portail de la France
  • Portail de l’histoire de l’art
  • Portail de la Shoah
Source : Wikipedia